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Un peu d'histoire...

 

Histoire d'Orsonville

 

Le nom vient du latin Ursionis villa, "le domaine d'Ursius", du nom du premier prieur de Saint-Martin-des-Champs.

Au Moyen Age, Orsonville dépend probablement du prieuré de Saint-Martin-des-Champs, fondé à Paris en 1059 par Henri Ier.

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* Eglise Saint-André XII- XVIème siècle

 

 

Cette église, témoin des combats entre les troupes catholiques du duc de Guise et les cavaliers protestants, est incendiée en partie en 1587.

La chapelle seigneuriale du XVe siècle est couverte d'une voûte gothique reposant sur des nervures à clefs pendantes.

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* La ferme fortifiée de Gauvilliers est celle d'un fief du XVe siècle.

 

 

 

Cette ferme fortifiée, construite à l'écart du bourg, est représentative des exploitations agricoles liées au régime féodal.

Entourée de douves, elle conserve les flèches ou pièces en bascule, du pont-levis, ainsi que la bretèche qui contribuait à la défense du manoir grâce aux mâchicoulis et aux archères dont elle est pourvue.

 Le pavillon carré à la haute toiture signale l'entrée ; il abritait également le colombier. 

 

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*Le Marquis de Colbert-Chabanais, possède presque toutes les terres jusqu'en 1848.

 

Le Marquis de Colbert-Chabanais

Date de naissance

10 octobre 1805

Lieu de naissance

(ancien)

Date de décès

27 septembre 1883

(à 77 ans)

Lieu de décès

Orsonville

Nationalité

 Française

Parti politique

Bonapartiste

Père

Auguste François-Marie de Colbert-Chabanais

Enfant(s)

Marie Adolphine Sophie
Édouard
Pierre-Louis

Diplômé de

École spéciale militaire de Saint-Cyr

Profession

Officier de cavalerie

Résidence

Château d'Orsonville
(Seine-et-Oise)

 

 Napoléon-Joseph de Colbert était le fils aîné de Auguste-François, baron de Colbert (1777-1809).

Il avait reçu, à la naissance, pour parrain et marraine l'empereur Napoléon Ier et l'Impératrice Joséphine

Il fit carrière dans l'armée où il obtint le rang d'officier de cavalerie. Il était sous-lieutenant de hussards vers 1829-1830

Il vota la déclaration de guerre à la Prusse.

Rentré dans la vie privée après le 4 septembre 1870, M. de Colbert-Chabannais fit, aux élections sénatoriales de 1876, comme candidat bonapartiste, une tentative infructueuse dans le Calvados. Colbert-Chabannais était d'autre part conseiller général du Calvados[2],[1] puis conseiller général de Seine-et-Oise.

 

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*Château 

 

 

Château en place entre 1700 et 1750 ; reconstruit entre 1750 et 1800 ; détruit en partie sans doute après 1920, des vestiges dénaturés subsistent.

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 * Pont dit "Pont d'Auneau"

 

 

 

Passage voûté construit par le marquis de Chabanais en 1827 pour la communication sous le chemin communal des deux parties de son parc, et aussi pour l'embellissement de sa propriété car, comme il l'écrit, il s'agissait aussi d'un décor sans doute d'esprit médiéval.

Les vestiges du pont illustrent le goût développé au début du XIXe siècle pour l'architecture médiévale, caractérisée par les châtelets et tourelles.

 

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 * La chapelle funéraire du Marquis de Colbert-Chabanais,

 

 

 

La sépulture d'Alexandre Louis Gilbert Colbert, marquis de Chabanais (1783-1857), est bâtie dans le cimetière, dans le style romano-byzantin à la mode sous le second Empire.

L'intérieur est couvert de peintures murales.

 

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* Le Moulin

 

 

 

Moulin construit entre le 17e et le 18e siècle, en ruiné en 1750, date de la carte de Cassini et sur le cadastre de 1824.

 

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Au milieu du XIXe siècle, les Belges, les Flamands et les Bretons, venus comme travailleurs agricoles, consomment la bière locale, produite par une brasserie implantée sur le territoire.